Publication de dessins de la série « Porn studies » dans le numéro 15 de la revue Le Bateau.
Pour commander, c’est ici : https://www.lebateau.org/product-page/n-15-avril-mai-juin-2018
Tag Archives: alfonse dagada
Math Magazine
Publication de dessins de la série « Porn studies » d’Alfonse Dagada dans la revue Math Magazine, issue 5.
Pour commander la revue, c’est ici :
http://mathmagazineshop.bigcartel.com/product/math-magazine-issue-five
Queer studies
Alfonse Dagada, Untitled, « Queer studies » series, colored pencil on paper, 48 x 36 cm, 2017.
silencio
guillaume abdi – léa bly – anaïs boudot – alfonse dagada – élodie ferré – nicolas gaillardon – michel le belhomme – julien lescoeur – aurélien maillard
exposition du 7 au 20 décembre 2013
salle de la Barbière – Musée de Boulogne-sur-Mer
1 rue de Bernet – Boulogne-sur-Mer
vernissage le samedi 7 décembre à 11h30 en présence des artistes
/ performance d’élodie ferré
ouvert tous les jours sauf mardi 10h-12h30 & 14h-17h30.
fermeture des billetteries à 17h.
dimanche : 10h-12h30 & 14h30-18h.
autour de l’exposition :
rencontre avec les artistes le vendredi 13 décembre à 18h30
à l’École Municipale d’Arts, place de Picardie – Boulogne-sur-Mer
Plus d’infos : www.welchrome.com / télécharger le dossier de presse
photo : michel le belhomme – 2009-2013
série masseuses
alfonse dagada, sans titre, série masseuses, techniques mixtes sur papier, 32 x 24 cm, atelier, Calais, 2013.
bad romance
alfonse dagada, bad romance, techniques mixtes sur papier et carton, 241 x 151 cm, 2013, atelier, Calais.
insécurité : bande organisée
Alfonse Dagada, Veronica, crayons de couleur, encre et stylo sur papier aquarelle découpé et agrafé, 19 x 26 cm, 2008. Photo : Rémi Vimont.
Pour sa deuxième exposition à la galerie Anne Perré, Alfonse Dagada propose un wall drawing inédit intitulé Insécurité : bande organisée. L’artiste resitue dans l’espace de la galerie des dessins de 2009, réinterprétation gestuelle d’images pornographiques qu’il confronte à la représentation d’une maison pavillonnaire stéréotypée. Reliés par une coulée organique noire, les corps démembrés des pornostars matérialisent un débordement orgiaque sur fond de produit standardisé de l’habitat contemporain. L’artiste invite le spectateur à plonger dans un imaginaire consumériste traversé par des forces psycho-sociales antagonistes et violentes qui révèlent l’ambivalence de nos désirs – entre aspiration à la sécurité et volonté de jouir.